J'ai entendu dire qu'il fallait que je vienne me présenter personnellement à Cupid. J'espère que par pitié - ou pas - il m'épargnera un peu, non ? Mon nom complet est Noah Dwight Emerson et j'ai 25 ans. Je suis originaire de Détroit, E.U, ce qui veut donc dire que je suis américain. Actuellement, je suis étudiant en lettres et j'aime ce que je fais. Je suis à Detroit depuis ma naissance et compte bien y passer le restant de mes jours. En ce qui concerne mon statut civil, je suis en relation libre et je dois avouer que je suis heureux de l'être. Finalement, je crois tout de même que je devrais donner un coup de main aux gens qui me classeront dans ma catégorie en leur disant que je fais partie de I hate Cupid ou I don't even know Cupid. (cF : groupes)

Cupid a écrit:

Bonjour, bonsoir & bienvenue au commencent de la fin. N'ayez pas peur, ou peut-être que si mais juste un peu, de toute façon, ce n'est pas comme si vous ne saviez pas que vous alliez vous en prendre plein la gueule. Soit, trêve de plaisanterie, nous ne sommes pas là pour ça. Je voulais simplement vous dire que pour être en mesure de vous analyser et de vous utiliser en tant que jouets, il me faut des informations sur vos vies. Certes, vous êtes passés par la présentation obligatoire ci-haut, mais j'ai besoin de détails croustillants. Je vous laisse donc le privilège - parce que oui, c'en est un - de m'écrire vos histoires qui - j'en suis sûr - seront plus ennuyantes les unes que les autres et qui me donneront envie de pleurer de pitié pour vous. Évidemment, votre essai devra faire un minimum de 30 lignes, je veux rire ! Texte à effacer après avoir rédigé votre histoire.

J'sors d'un magnifique magasin de fringue avec à la main un énorme sachet remplit. Je viens de me faire plaisir, mais correctement, et je sors, fier comme un coq. Je me la pète, et je prévois déjà de mettre tout cet attirail de BG pour la fête de ce soir. Je sais que les trois autres mongoles qui me servent de potes y seront, et qu'on sera entouré de belles minettes en chaleur. Je me dois donc d'être le plus beau si je veux pouvoir en serrer au moins cinq dans la soirée, pourquoi pas plus. En ce moment, j'essaie de battre mon record, tous les soirs. J'ai commencé à trois, et là je suis à cinq maximum. Ce soir, je me dois de faire six. Si j'y arrive, j'me sentirai comme un dieu. Le dieu du serrage et de la baise. Ça me plait ça. Et j'estime que je devrais avoir un titre pour ça. Serrer, emballer, promettre et ne plus jamais rappeler. Voilà ce à quoi je m'amuse depuis le lycée, depuis que je suis du plus bas de l'échelle sociale, au plus haut. Du niveau cas sos, au niveau prince du lycée. Peut-être parce que finalement, les filles ne sont pas autant à plaindre que ça. Elles aussi peuvent être de vraies salope et j'en ai fais les frais plus jeune. Du coup, je m'octroie une certaine vengeance. Ma règle d'or ? Ne pas s'attacher. La femme est une sorte de marchandise, que je teste, et puis, une fois que je l'ai usée, je la jette et je la remplace par une marchandise neuve et plus fraîche. Voilà le principe. Alors que je marche tranquillement sous le soleil de Détroit, je détecte à six heure, une jolie minette en short ras la touffe et au débardeur décolleté. Ses gros seins m'appellent, ça se voit. Alors, ni une, ni deux, je m'approche, affiche mon sourire de beau gosse et sors mon regard de braise. « Quel joli débardeur tu as là. » Je sais, c'est pas très galant mais je ne suis pas là pour l'être, j'ai juste envie de l'avoir dans une demie heure dans mon lit celle là. Elle me dévisage, hausse un sourcil, affiche un sourire narquois sur son visage et.. « Putain mais c'est quoi ton soucis à toi ?. » Celle là, je ne l'avais pas vu venir. Elle est parti d'un coup et s'est abattue sur ma joue sans que je ne puisse l'évité. Apparemment, la petite n'a pas aimé mon compliment. « Casse-toi Noah avant que ma main ne pourrisse ta deuxième joue. » qu'elle me sort. Je fronce les sourcils et tente de faire une recherche express dans ma mémoire. Oh putain, Leila. Soirée en boîte, trois grammes, serrée dans les toilettes. « Je vois. A plus beauté. » je répond. Je n'arrive pas réellement à me souvenir si j'avais apprécié ce moment ou non, mais je tourne les talons et reprends ma marche. J'ai une soirée ce soir, je me dois d'être bien. Et ce n'est pas une petite salope qui va me la gâcher avec ses états d'âmes. « Attends joli cul, j'ai deux heures à perdre, et il y a un magasin sympa de ce côté de la rue où les cabines d'essayage ferment plutôt bien. » Je m'arrête net. L'appelle du sexe. Je me retourne, souris légèrement et m'approche d'elle. Aucun signe d'affection, aucune tendresse. C'est une espèce de quotidien qui me plait.

Je soupire de plaisir puis m'assois sur l'espèce de banc prévu dans la cabine d'essayage. Putain cette petite bonasse m'a pompée toute mon énergie. Je ne fais rien paraitre, j'attrape mon boxer et commence à l'enfiler. Elle passe ses bras autour de moi et me caresse le torse. « T'en as pas eu assez cocotte ?. » que je lui dis. Elle rit, j'comprends pas trop mais je m'en fou. J'attrape maintenant mon pantalon et je l'enfile. Cette sangsue ne me lâche pas et elle commence à m'énerver, un peu. Je me retourne, alors, lui fais face, plonge mes yeux dans les siens. « Qu'est-ce que t'as ? » je lâche énervée alors qu'un bip bip résonne dans la poche de mon jean. Je soupire, j'crois que je l'ai vexé, elle commence enfin à se rhabiller cette cruche. Gros, ramène ton cul à la fête, on t'attends. C'est Jax, un des cas sos avec qui je partage ma vie. Je dis cas sos mais en réalité, ces mecs là sont ma famille. Je les connais depuis pas mal de temps et je n'ai jamais rien fais sans eux. Avec Jax et Cade, on se comprends bien niveau nana. On serre, on baise, on jette. Ahàron, lui, il est à part. Même s'il est aussi déjanté que nous, il a sa nénette. La Davenport. Jheylann de son prénom. Cette minette lui pompe tout son temps. Mais bon, j'ai pas le droit de lui en vouloir, après tout, il est ' amoureux '. Ce mot me répugne. « Ma belle, j'vais devoir te laisser, y a un millier de petit cul comme le tien qui m'attendent à cette putain de fête. » je dis en tapotant son boule que je viens de gentiment détruire. Oui bon ça va, je me la joue un peu. J'enfile mon tee-shirt et je sors comme si de rien n'étais de la cabine d'essayage sous les yeux rond de la vendeuse. « T'auras plus l'occasion de toucher mon boule, Noah ! Connard va. » Elle s'attendait à quoi celle là ? Je tourne mon regard vers elle et lui lance un clin d'oeil comme pour me foutre de sa gueule. Ton boule chérie, ce soir je l'aurai vite oublié.

Ça y est j'y suis. J'ai enfilé mes super fringues achetées cet après-midi et j'suis tout fier. J'ai l'air d'un gamin mais je m'en fou. De toute manière c'est cette tronche de gamin qui les fait toutes craqué. J'sens déjà des regards sur nous quatre alors qu'on s'accoude au bar comme des princes. On se la pète, on commande de l'alcool pour se mettre tous bien et on est prêt à passer une putain de nuit de folie. J'commance ma vodka orange, je sens le liquide brûler ma gorge. Le premier verre me fais toujours ça. Il brûle ma gorge et je le sens descendre jusque loin dans mon ventre. Et puis après, ça passe tout seul. Le premier verre, ça fait comme un espèce de bouclier aux prochains pour ma gorge et le reste. J'finis mon verre et mes yeux se fronce. Y a une jolie nana qui arrive. Sa mini-jupe veut limite dire, viens donc, j't'attends mon grand. Mais je m'arrête bien vite de la regarder alors que Ronron pose ses yeux de chien de chasse sur nous. Ouais, c'est sa nana la Davenport qui vient d'arriver. Elle est habiller comme une pute limite. Je fais une grimace de dégoût et je pose mon regard sur le reste de la salle. J'comprendrai jamais pourquoi ce con d'Ahàron ce contente de cette minette alors qu'avec sa gueule d'ange il pourrait très bien en avoir des tonnes d'autres. J'me préoccupe même pas du bonsoir qu'elle nous lance. Je garde les yeux rivés sur une jolie brune aux yeux clairs qui danse comme une déesse au milieu de la piste. Par contre, j'en connais un qui bave limite sur Jheylann. J'ai envie de lui dire que ça dégouline sur son menton mais je me retiens. Ça serait pas très correcte et je suis certain que Ronron n'apprécierait pas que Jax bave sur ça nana même si ça se voit comme le nez au milieu de la figue. Mais moi je m'en bas de tout ça. Je les lâche pour me faufiler entre toutes les mini jupe, la montée d'excitation et la transpiration naissante à la recherche de ma jolie brune. Tiens, la voilà. Cocotte, approche toi que je te fasse ta fête. L'heure qui suit est à nous, après, j'irais tester le reste de la marchandise de ce soir.

« Putain mais casse toi ! » je crie depuis mon lit alors que j'entends frapper à la porte. La voix d'Ahàron résonne derrière mais je n'ai pas envie de le voir. J'ai passé la nuit à réviser de l'italien et là j'ai simplement envie de dormir. Vaffanculo Horswood mon corps à besoin de dormir il a fais trop de sport cette semaine et mon cerveau a trop souffert. Il insiste. J'vais le démonter celui là. Je ne le dérange pas moi quand il est avec sa nana. Pourquoi il me dérange quand je suis avec le seul amour de ma vie, mon lit ? Je me lève quand même et traine mon cadavero jusqu'à la porte. J'ouvre. « Pronto ? » je dis avec une voix rauque. J'ai les cheveux complètement en bataille, les yeux rouge et bouffis et une barbe de quatre jours. Autant dire qu'à ce moment, je crois qu'il me serait impossible d'emballer qui que ce soit. Dire qu'il y a des mecs qui ont cette gueule là tous les jours. Ça fou les boules. Mais du coup, en voyant la tête de Ronron, je retire toute ma pensée. Il a une gueule pire que la mienne, à faire fuir le chien de la mémé qui habite en face de mon appartement. « Wahou, il t'arrive quoi ?» il ne répond pas, mais je comprends. Il a obligatoirement un soucis avec sa belle. De toute façon, je ne l'ai jamais vu comme ça. Ou peut-être une fois qu'ils avaient eu des soucis et qu'on était allé se bourrer la gueule dans le bar en bas de chez moi. Mais là, je crois que c'est réellement grave. Je le fais entrer et sans que nous parlions, nous nous comprenons. Je le laisse patienter genre quinze minutes le temps de prendre une douche et me raser. J'me met un jean et un tee shirt vite fais, j'enfile mon blouson en cuir noir et on est partit. Le bar d'en bas, il accueil pas mal de monde. Toujours des dépressifs. Et on fais partit du lot. Enfin Ronron, pas moi hein. C'est pour ça que je ne m'attache jamais. J'ai envie de lui dire, il n'a cas devenir comme moi, ça permet de ne pas être dans cet état. Là comme il est, il est prêt à se mettre une bonne mine je sens. « Personne ne mérite que tu fasses cette tête. Même pas Jheylann » que je lui sors simplement entre deux verres alors que l'alcool commence à nous monter à la tête. En étant sobre, je ne suis pas certain que j'aurais sortit cette phrase là mais bon, je suis bien et je dis ce que je pense. C'est à ça que ça sert un pote nan ? Il boit sont cinquième verre cul sec et il me regarde avec sa tronche de chien battu. J'serais une femme que je lui aurais sauté dessus directement. « c'est pas vrai. Elle, elle est juste parfaite. » J'suis pas certain tu vois. Si elle était si parfaite ta nana, pourquoi irait-elle crécher chez un de tes meilleur pote coco ? J'suis sûr que si j'lui posais la question il ne saurait pas quoi répondre. Mais j'le ferai pas parce qu'il vient de m'exposer correctement ses envies de meurtres contre Jax. J'contionne pas trop mais après tout, c'est leur affaires. En attendant j'suis là, je l'écoute et j'essaie d'être le mec de la situation. Ronron c'est mon pote, j'le laisserai pas tomber.

« Signore Emerson. Lei lavora con Signorina Calloway. » Putain je voulais travailler avec l'autre intello moi. Calloway, c'est une bombasse. Elle est en études de lettres comme moi et j'ai jamais réussis à la pécho. Elle m'a repoussé plusieurs fois alors j'ai laissé tomber. Et puis, finalement, on a fini par se rapprocher, mais notre relation est bizarre. On s'aime beaucoup et en même temps, on ne se supporte pas. Sa présence m'apaise, totalement, je m'sens bien quand elle est là. Et puis elle dis un mot de travers et je m'énerve, je l'envoie bouler et on se fais la gueule pendant des jours jusqu'à ce qu'un de nous deux cède. J'crois que cette fille est la seule avec qui j'arrive à entretenir une relation sans ambiguïté. Mais alors pourquoi ça m'énerve quand un autre mec l'approche ? Je chasse tout ça de ma tête quand elle vient s'assoir près de moi. [color:ced8=##DEB663]« Je te préviens Noah, j'ferai pas tout le boulot pendant que tu mattes mon décolleté. » Je ris. Elle me connais bien et je ne supporte pas ça. Que quelqu'un me connaisse bien. « Alors tu bosseras debout et je materai ton joli cul, chérie. » je lui réponds. Elle rit à son tour. On est vraiment bien quand on est les deux. On se comprends, on s'adore et puis finalement on se hais. C'est bizarre cette faculté qu'on a de passé du chaud en froid en quelques secondes. On se retrouve à la cafet' tous les deux à manger en parlant de notre devoirs. Aujourd'hui on a droit à des frites. « Passe-moi tes frites Babe, j'veux pas que tu sois énorme. » Je tends le bras pour lui prendre son assiette et elle me frappe. Je recul et lui lance un regard interrogateur. Elle me fais quoi là ? « Connard va. Tu t'en bas les couilles, t'as aucun droit sur mon corps. » qu'elle me lance. Je reste sans voix. Je détourne le regard sur mon assiette. Qu'elle aille se faire baiser. En parlant de baise, y a un mec qui s'approche de notre table et qui l'embrasse sur la joue. Je boue de l'intérieur. Il veut quoi lui, pourquoi il l'a touche ? Ils se disent deux trois mots et se barrent ensembles. Eh ben casse-toi, connasse. J'vais aller m'faire une fille bien mieux que toi.

Bon, j'avoue que de ne donner que mon pseudo, ce n'est pas très courtois. Je vais donc vous laisser me démasquer partie par partie - pour qu'ainsi, Cupid puisse mieux prendre sa revanche sur ma personne -, commençons. Je suis une jeune femme âgé(e) de 17 ans. Je sais que vous mourez d'envie de savoir d'où je viens, bande de coquins, je viens de France. Soit, vous commencez à en savoir trop, un peu plus et je vous donne mon numéro de carte bancaire avec ça ? Bref, j'ai connu le forum parce que vous avez fait une jolie pub sur Bazzart (a) et je le trouve pas trop mal. *rires* SUPERBE ! Sinon, je commence sérieusement à en avoir marre de répondre à vos questions, alors j'arrête.