J'ai entendu dire qu'il fallait que je vienne me présenter personnellement à Cupid. J'espère que par pitié - ou pas - il m'épargnera un peu, non ? Mon nom complet est Castiel Janiyah Brane-Hawks et j'ai 22 ans. Je suis originaire de Trenton New Jersey (NJ), ce qui veut donc dire que je suis américaine. Actuellement, je suis interne à l'hôpital de détroit et j'aime ce que je fais. Je suis à Detroit depuis trois ans et compte bien y passer le restant de mes jours. En ce qui concerne mon statut civil, je suis célibataire et je dois avouer que je suis heureuse de l'être. Finalement, je crois tout de même que je devrais donner un coup de main aux gens qui me classeront dans ma catégorie en leur disant que je fais partie de I hate Cupid !.

Avez-vous déjà pensé à revenir en arrière changer le cours des choses ? Effacer quelques souvenirs de votre passé ? Moi tout le temps, je ne dis pas que ma vie a toujours noir non loin de là. J’ai eu des moments de bonheurs dans ma vie, des moments inoubliables mais d’autres que je préférerais oublier. Comme tout le monde j’ai mes secrets et mes démons qui nous suivent où qu’on aille quoi qu’on fasse, ils reviennent un jour ou l’autre vous hanter. Petite j’ai toujours cru que les contes de fées que me racontez ma mère était la vraie vie, c’était un monde tellement beau et merveilleux avec les happy ending. Mais on se rend vite compte en grandissant que les contes fées c’est beau quand on a entre deux et cinq ans. Cette bulle qui nous protège quand nous sommes enfants éclate pour laisser la vraie vie nous emportait avec elle. Bon peut être que je généralise un peu trop, peut être que d’autres enfants on eu une enfance des plus dorées. Avec des parents aimants et tout ce qui s’en suit mais moi je n’ai pas eu cette chance d’avoir cette enfance.

« L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile, alors que l'inverse est totalement impossible.»Woody Allen

Le 26 juin 1994,

« Maman ! Maman ! Regarde ce que j’ai fais ! », Je tenais dans ma main un dessin j’étais fière de moi. Je m’approchai de ma mère qui se trouvait dans la cuisine, mais elle ne semblait pas m’avoir entendu, je tirais un peu sur sa jupe pour qu’elle me regarde avec mon dessin. J’étais toujours aussi admirative de ma mère, elle sentait toujours bons et portait ces drôles de chaussures qui la rendaient plus haute. Papa dit que je suis comme elle, alors que je pense tout le contraire ça fait toujours rire mon père quand je fais une mine boudeuse pour dire le contraire. Maman se retourna ses yeux étaient remplis de larmes, elle reniflait péniblement. Je remarquai quelques larmes sur ces joues encore maquillées, elle tenta de les cacher mais c’était trop tard. Elle me prit dans ses bras et déposa un baiser mouillé par les larmes sur ma joue. « Allez montre moi ton joli dessin. » Je lui tendis mon dessin avant de lui demander. « Maman pourquoi tu pleures ? » Elle me déposa avant qu’elle se mette accroupie devant moi, sa main poussa les quelques mèches de ma frange avant qu’un sourire se dessine sur ses lèvres. Je dois bien l’avouer que je ne comprends pas les grands. « Ma puce il faut que tu saches que pendant un moment… Ton père et moi nous allons vivre séparément. Ton père ira dormir ailleurs il ne sera plus à la maison. Tu comprends ? » Ne demandez jamais à une gamine de six ans de comprendre pourquoi ces parents allaient vivre à deux endroits différents. J’avais beau essayé de trouver une manière de comprendre mais rien n’y changeait. Pour tout réponse je secouai ma tête en signe de négation, maman déposa à nouveau ces lèvres mais sur mon front. « Tu es tellement jeune ma petite Janiyah je suis désolée de te faire subir ça. » Me faire subir quoi ?! C’est nul d’être petite je ne comprenais rien au charabia de ma maman. La porte d’entrée claqua mon regard se tourna vers l’entrée de la cuisine. Mon père se trouvait là, dans mes souvenirs il a toujours été un géant à mes yeux. Son regard bleu se posa sur moi puis sur ma mère. « Janiyah part dans ta chambre s’il te plait. » Je levai mes yeux vers ma mère qui d’un simple hochement de tête me fit comprendre que je devais l’écouter. Je pris mon dessin et me dirigeai vers les escaliers montant doucement. Je n’entendais que des chuchotements provenant de l’endroit où je me trouvais il y a quelques secondes. Puis le bruit d’un objet se fracassant. « Matthew tu es devenu complètement fou ma parole ! Comment veux tu que je te pardonne après ce que tu viens de faire ? Tu m’as trompé avec ma meilleure amie ! » « Narcissa écoute-moi ! Julee c’était une erreur de parcours. Je sais que j’ai fait une énorme erreur mais s’il te plait donne moi une chance de me rattraper. » « Tu plaisantes là ?! Comment peux-tu croire que je vais te donner cette chance ? Assume ce que tu as fait Matthew ! Comment peux-tu vivre avec ça ? Comment peux-tu encore sourire à ta fille ? Tu as pensé à l’avenir de Janiyah ? » Je redescendis les marches l’incompréhension pouvait se lire sur mon visage. C’était quoi trompé ? Pourquoi avait il fait une erreur ? Une fois devant la cuisine je me cachai un peu de telle sorte à avoir mes parents devant moi. Maman avait remarqué ma présence, elle se dirigea vers moi et me prit dans ses bras. « S’il te plait Matthew sort d’ici je t’enverrai tes affaires demain chez Noah. »Je vis mon père me jetai un dernier regard triste, je le regardai s’éloigner jusqu’à ce que sa silhouette disparaisse derrière la porte. « « Maman pourquoi pas va chez oncle Noah ?» « Ma puce ton papa a blessé ta maman en faisant une chose pas jolie et il doit comprendre que sa place n’est plus ici. Tes parents doivent réfléchir un peu c’est pour ça qu’il dort chez son frère. Maintenant va jouer dans ta chambre ma puce. » C’était bizarre cette histoire, maman repartit dans la cuisine me laissant là. Je la regardai cuisiner quelques secondes avant de monter dans ma chambre.

« La vie devient une chose délicieuse, aussitôt qu'on décide de ne plus la prendre au sérieux. »H. de Montherlant

Le 31 mars 2004,

Je venais de boucler ma dernière valise je regardai une dernière fois ma chambre. Il ne restait que quelques photos accrochées sur les murs, des petite choses sans vraiment d’importance. Du moins les objets, dans cette chambre j’avais beaucoup de souvenirs : des souvenirs de gamine surtout. Un endroit où j’avais pleuré lorsque mes parents avaient divorcés lors de mes sept ans. C’est ici aussi que je découvert que j’avais une demi-sœur, drôle de destin pour une fille comme moi. Pourquoi je quitte cet endroit ? A cause de ma mère, depuis le divorce elle n’a pas réussi à retrouver le bonheur. Au début elle avait fait une dépression et tomber dans le cercle vicieux de l’alcool pour une fillette de sept ans voir sa mère s’autodétruire est une chose difficile. On grandi trop vite, on perd peu à peu notre innocence ce monde « bisounours » de petite fille. Cet état n’avait duré que quelques mois, elle avait fini par se faire soigner et reprendre une vie normale. Mais moi non, je n’étais plus la même peut être physiquement mais mentalement non. Les années ont suivi et j’ai du subir la pression qu’elle m’infligeait chaque jour. Une fille modèle, excellente je n’ai rien dit pensant six longues années. Mais lors de mon quinzième anniversaire je me suis rebellée conte cette vie de miss america. Soirée, faire le mur, mensonges étaient devenus mon quotidien pour qu’elle arrête. Je dois bien l’avouer que ça n’a pas marché, et ça ne me ressemblait pas. Aujourd’hui j’ai seize ans je vais vivre chez mon père, dans la ville voisine. Ma mère ne me comprenait au fond elle ne m’a jamais comprise. On frappa à ma porte, je laissai échapper un léger, « entrée » avant de continuer à ranger les dernières babioles. Je n’entendis que quelques pas feutrés et un bruissement sur mon lit que je venais de ranger. « Mais fait comme chez toi Max’ ! » Max ou Maxence est mon meilleur ami depuis l’école maternelle. Il poussa un soupir avant d’ajouter, « Ben je fais partie un peu de la famille non ? » « Si tu nous considères comme une famille, tu as encore de l’espoir. Je peux savoir ce que tu fiches ici ? » « Quel accueil honey ! Je suis venu passer les derniers moments avec ma meilleure amie. Qui apparemment ne veut pas de visiteur ! » Je reposai l’objet que je venais de prendre et me retourna pour regarder Max’, c’est fou ce qu’il pouvait être gonflant mais tellement adorable quand il le voulait bien. « Ce n’est pas ce que je ne veux pas te voir, mais j’ai encore mille choses à faire avant mon départ. Je n’ai pas vraiment le temps de discuter ni de rigoler désolée. » Il se leva et fourra ces mains dans ces poches, je savais bien qu’il voulait vraiment qu’on passe encore quelques heures ensemble. Après mon départ je ne reviendrais peut être plus, je resterai avec mon père. Je ne savais pas encore combien de temps j’allais rester je voulais faire un peu le point sur ma vie. Je voulais vivre pleinement mon adolescence et non être détruite par les lubies de ma tendre mère. « C’est bon mais pas plus de deux heures je voudrais finir tout ça avant mon départ ! » Le sourire aux lèvres Max’ me prit la main et m’emmena hors de ma chambre. Arrivée en bas je pris ma veste et lâcha. « Maman je sors ! » Cette dernière apparue rapidement dans le couloir. Mon père disait que je la ressemblais allez savoir pourquoi il dit ça. « Hors de question jeune fille, tu as encore beaucoup de chose à faire. Je suis sincèrement navrée mon cher Maxence mais Janiyah ne sortira pas ce soir. » « MAIS MAMAN ARRETE MERDE ! Tu ne comprends pas que j’en ai marre c’est pour ça que je me tire. Tu m’empoisonnes la vie ! » « Janiyah parle moi sur un autre ton, je suis ta mère ! » « Ce n’est que là que tu t’en rappelles que tu es ma mère, c’est la meilleure c… » Ma mère m’en colla une au fond je l’avais cherché, je caressai ma joue rougie à présent. Ma mère venait de mettre sa main devant sa bouche, elle retenait ces larmes. Elle regrettait son geste, la porte d’entrée claqua. J’en déduisis le départ de Maxence, je retenais mes larmes. « JE TE HAÏS !!!! » Je remontai rapidement les escaliers avant de m’enfermer dans ma chambre.

« Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie.Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes. »Jacques Chardonne

Le 15 mai 2008,

« Es tu sûre de vouloir partir ? » Je me retournai vers Auxence, je l’avais rencontré lors de mon arrivée chez mon père. Il aidait ce dernier dans le jardin puis on allait dans le même lycée. Il m’avait posé cette question de nombreuse fois, je me disais qu’il voulait peut être que je change d’avis. Mais j’avais pris ma décision, je devais partir à Détroit pour mes études en médecine. « Oui absolument ! Je téléphonerais souvent, je reviendrais dès que possible. » J’avais un peu de mal à m’éloigner de lui, nous étions en couple depuis deux ans nous étions si unis et amoureux. Au début jamais je n’aurais cru qu’Auxence allait être mon petit ami, il était bien tout le contraire de moi. Je savais que certaines relations longues distances ne duraient pas, mais j’avais gardé espoir que notre couple passerait au dessus de tout ça. Que nous étions l’exception à ce stupide cliché ! Je le regardai allonger là sur son lit d’un air pensif et à la fois neutre. « Ce n’est pas ce que je souhaite. » Surprise, oh que oui il voulait peut être m’accompagner ou est ce lui qui allait venir me voir ? Comme nous l’avions toujours rêvé rester ensemble pour toujours, pure utopie je sais mais l’amour parfois reste complètement étrange. « Qu’est ce que tu sous entends par là ? Tu préfères venir me voir ? » « Non ce n’est pas ça Janiyah, je préfère qu’on arrête là. » Je venais de recevoir une gifle, j’avais le souffle coupé. Pourquoi là ? Je ne comprenais plus rien, et je ne voulais pas croire que tout était fini. « Pourquoi ? … Je t’aime, tu m’aimes ça peut marcher ! » Je souffrais et j’essaie de me cramponner au peu d’espoir qu’il me restait. Stupide, aliénée traité moi de ce que vous voulez, mais je l’aime ! Je ne voulais pas perdre Auxence, j’avais besoin de lui autant qu’il avait besoin de moi. « Je ne t’aime plus Janiyah, c’est pour cela que j’arrête tout entre nous deux. » C’était une blague ! Je ne pouvais pas le croire mais pourtant il venait de me le dire. J’essaie de voir une once d’humanité dans son regard, croire encore que tout est possible. Mais rien n’apparaissait ! Les larmes firent leur apparition, je pouvais plus supporter cette souffrance. Je finis par réussir à lâcher ces quelques mots. « Tu es sérieux ? » Il opina de la tête prenant soin d’éviter mon regard, la colère m’envahit petit à petit. Frustrée d’être tomber amoureuse de lui. « Comment peux-tu me faire ça ? Je t’ai tout donné tout ! J’aurai été prête à tout pour toi ! Toi…. Tu n’es qu’un salop ! » Il n’y a qu’un pas entre l’amour et la haine, je venais de le faire ce pas. J’étais brisée et perdue, naïve je l’étais ces deux dernières années de ma vie. « Je suis sûre que tu ne m’as jamais aimé ! » Cette réplique sembla l’atteindre plus que je ne le pensais. « Ne dis pas ça Janiyah, je t’ai aimé plus que personne … Aujourd’hui c’est tout simplement fini. Je n’allais pas continuer à te mentir. Tu mérites mieux que moi.» Il daigna enfin me regarder, les larmes perlaient sur mon visage. « Comment peux tu savoir ce qui est le mieux pour moi ? J’étais bête de croire que tu avais changé. Finalement tu restes ce même mec. Je ne veux plus jamais te revoir Auxence ! » Je le giflai je pris la sortie d’un pas déterminé, le vent fouettait mon visage et les larmes n’avaient pas cessé de couler. J’avais mal !

« Aujourd'hui, j'ai remarqué que les motifs de mon T-shirt étaient les mêmes que ceux du papier toilette du bureau où je travaille. »VDM.

Now,

J’étais assise dans la cafétéria de l’hôpital avec les autres internes, avec qui j’étais depuis deux ans. Je ne peux pas dire que j’étais proche de tous les internes, j’avais juste mon meilleur ami avec moi Maxence, ça me suffisait amplement. Finalement il avait rejoint Détroit avec moi, il avait du avoir peur que je tente de me suicider après ma relation avec Auxence. Il est un tantinet encombrant je dois dire, mais il m’a toujours été fidèle. Bref Max n’était pas seulement dans mon cercle d’ami, j’avais une vie sociale correcte. Je regardai autour de la table, Auxence ne se gênait pas à draguer ouvertement une petite nouvelle. « Comme ça tu vas te marier Cas’ ? Ma fourchette tomba lourdement dans mon assiette, mes yeux se posèrent sur une jeune femme blonde qui arborait un sourire béat : Gemma. Je jetai un regard noir à Max, il avait encore bu un verre de trop un soir. Tout ce qu’il fit c’était sourire, il ne perd rien pour attendre celui-là. « Moi qui pensais garder ce mariage secret, c’est raté. » Un ton sarcastique, et un sourire sorti tout droit d’une pub pour dentifrice. Les autres femmes de la table commencèrent à piailler, vous vous dites surement pourquoi une jeune femme de vingt deux ans va se marier ? Moi-même je me demandais pourquoi j’avais accepté cette proposition de dingue. « Qui est l’heureux élu ? Génial, il fallait qu’elle soit fouineuse celle-là. Depuis que nous travaillons ensemble, nous avions du se parler une seule fois. Soudainement ma vie l’intéressait, en plus elle osait m’appeler Cas’ comme si nous étions les meilleures amies du monde. J’aurai aimé la gifler et la faire ravaler ce sourie niais qu’elle avait sur le visage. « Ah ben le voila justement ! » Max avait décidé de me rendre la vie impossible aujourd’hui ou quoi ! Un clin d’œil et tout ce que je finis c’était de le dire que c’était un mec mort. Ezechyel le prénom de mon futur mari, il était résident et il avait un charme fou sur les autres filles. Monsieur était du genre dom juan, beau parleur en gros le stéréotype du macho ! Macho en situation irrégulière, son visa s’expirait dans quelques semaines pour rester il devait épouser une américaine. On peut dire que j’étais là au mauvais moment et mauvais endroit, et que ce jour là je n’ai pas réussi à dire non. Je n’aimais pas l’injustice et voila comment je m’étais retrouvée une futur mariée. Me mariée à une personne que je détestais et je l’étais depuis deux semaines. « Janiyah je peux te parler en privée ? » N’importe quel prétexte était bon pour le suivre, il m’emmena dans une salle. « Qu’est ce que tu veux me dire ? » Il faisait les cent pas, au fil du temps j’avais appris à le connaitre. Il était loin d’être le mec que tout le monde croit connaitre. Mais il a toujours le don de m’agacer. « J’aurai que tu me rendes encore un service. » Je n’étais pas étonnée. « De toute façon je ne peux plus faire marche arrière, sinon je te rappelle que je pars en taule pour t’avoir protégé. » J’aurais être plus compatissante, montrer un peu plus de gentillesse envers lui mais je n’étais pas encore prête. J’avais du accepter le fait de l’embrasser, ça me dégoutait plus j’avais même pris un certain plaisir à le faire. « Il faudrait que tu viennes vivre chez moi » « Quoi ?! Non mais t’as perdu la tête ma parole ! Dormir dans le même lit que toi ah l’horreur. Ne compte pas sur moi sur ce coup là. » Je sortis de la pièce le laissant là, comme un idiot.

Bon, j'avoue que de ne donner que mon pseudo, ce n'est pas très courtois. Je vais donc vous laisser me démasquer partie par partie - pour qu'ainsi, Cupid puisse mieux prendre sa revanche sur ma personne -, commençons. Je suis une jeune femme/un jeune homme âgé(e) de XX ans. Je sais que vous mourez d'envie de savoir d'où je viens, bande de coquins, je viens du/de Pays. Soit, vous commencez à en savoir trop, un peu plus et je vous donne mon numéro de carte banquaire avec ça ? Bref, j'ai connu le forum parce que raison et je le trouve avis ! Sinon, je commence sérieusement à en avoir marre de répondre à vos questions, alors j'arrête.