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Aaliyah ♠ When the stars go blue . [ terminée ]

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Invité
Invité


Aaliyah ♠ When the stars go blue . [ terminée ] Vide
MessageSujet: Aaliyah ♠ When the stars go blue . [ terminée ] Aaliyah ♠ When the stars go blue . [ terminée ] EmptyMar 11 Jan - 7:57

AALIYAH CASSY KELLER
KRISTEN STEWART

Aaliyah ♠ When the stars go blue . [ terminée ] KristenStewart
(C) ENDEN MEMORIES
J'ai entendu dire qu'il fallait que je vienne me présenter personnellement à Cupid. J'espère que par pitié - ou pas - il m'épargnera un peu, non ? Mon nom complet est Aaliyah Cassy Keller et j'ai vingt deux ans. Je suis originaire de Miami, ce qui veut donc dire que je suis américaine. Actuellement, je suis serveuse et j'aime ce que je fais. Je suis à Detroit depuis quatre ans et compte bien y passer le restant de mes jours. En ce qui concerne mon statut civil, je suis célibataire mais c'est assez compliquée et je dois avouer que je suis heureuse de l'être. Finalement, je crois tout de même que je devrais donner un coup de main aux gens qui me classeront dans ma catégorie en leur disant que je fais partie de I HATE CUPID !. (cF : groupes)




CHAPTER ONE . C’est une fille…

Neuf mois que mes parents attendaient cet événement avec une joie immense et une impatience infime, la naissance de leur premier et unique enfant : ma naissance… Tout était prêt pour mon arrivée, chaque détails avaient été soignés : une chambre aux couleurs méditerranéennes, remplis de peluche et d’objets en tout genre avec au center un berceau blanc.. La penderie contenait des vêtements de petite fille de tout âge, vêtements offerts à mes parents par nos proches et amis. C’est simple il ne manquait plus qu’une chose pour combler toute cette agitation ; que je pointe le bout de mon nez et vite. Le dernier mois de grossesse fut le plus pénible pour ma mère, au mois d’août la chaleur était facilement étouffante en Floride, devenant presque insupportable pour elle. Pour son bien être, elle ne sortait plus, restant dans la pénombre toute la journée, profitant de ses vacances avec mon père une fois le soleil couché. Heureusement pour elle, j’avais décidé d’abréger ses souffrances inutiles en décidant de sortir voir le monde… Cela faisait quelques heures que ma mère était prise de contractions, toutes plus rapprochées les unes que les autres et devenant plus fortes à chaque instants, mes parents comprenaient que mon arrivée était proche et restait sur leur garde, prêts à partir pour l’hôpital à chaque minutes, d’ailleurs pour être plus rapide, il avait déjà rangé la valise contenant mes affaires et celle de ma mère dans le coffre de la voiture.. Il avait promit à sa femme de ne pas paniquer lorsque serait venu le moment pour elle d’accoucher et jusque là il remplissait son contrat à merveille, chose qui rassurait ma mère qui n’avait absolument pas peur. « Les femmes mettent des enfants au monde depuis la nuit des temps, pourquoi devrais je avoir peur ? » Voila la réponse qu’elle donnait aux gens qui lui demandaient si elle redoutait ce jour si particulier. Allongée sur le canapé à regarder son téléfilm préféré ma mère fut surprise quant elle sentit en dessous d’elle, quelque chose d’humide, se relevant doucement avec beaucoup de mal, elle remarqua alors que la poche des eaux venaient de se craquer ; le travail avait commencé et il était l’heure pour elle de filer à la maternité si elle ne voulait pas que je naisse dans mon salon. « Chéri.. Le canapé est mouillé… j’ai perdu les eaux ! » Se fut à ce moment là que mon père commença à avoir peur, comme à son habitude il commença à raconter tout et n’importe quoi, voulant détendre l’atmosphère avec des plaisanteries qui ne faisaient rire que lui mais qui avaient plus ou moins le don de le calmer. « Oh non mon cœur, c’est du cuir le canapé ! » Avec la douleur, ma mère l’avait fusillé du regard, s’il savait ce qu’elle en avait à faire de son canapé, j’étais entrain de lui déchirer la paroi abdominale et pour le moment sa seule préoccupation était d’en finir avec cette horrible douleur. « Je m’en fiche de ton canapé ! Je vais accoucher ! » S’excusant pour son humour, mon père attrapa doucement sa femme, l’emmenant dans la voiture, direction la maternité de Miami ! Je crois que jamais mon père n’avait conduit aussi vite de sa vite, prenant presque des risques juste pour gagner quelques minutes de plus. En arrivant la bas, le travail avait déjà bien commencé et il ne restait à ma mère qu’à faire un petit effort pour me sortir de là, tout le monde s’était hâté autour d’elle, la conduisant en salle d’accouchement, la préparant, préparant mon père qui avait tenu à assister à ma naissance. De dehors on pouvait entendre les cris de douleur de la futur maman et de l’intérieur on pouvait voir les larmes couler le long de ses joues, la sueur perler sur son front et la grimace de mon père quant elle venait à lui broyer les os de la main…« Un dernier effort Madame Keller, c’est bientôt fini. Poussez. » Poussant une dernière fois le plus qu’elle le pouvait, on entendit alors mes pleures, nous étions le quatre août mille neuf cent quatre-vingt neuf à seize heures quarante-cinq et pour la première fois mes parents entendirent le son « de ma voix ». …« Le papa souhaite t-il couper le cordon ? » Il ne fallut pas lui répéter deux fois, aussitôt il avait suivit la sage femme dans la pièce voisine, coupant mon cordon ombilicale avant de revenir auprès de ma mère, épuisait par ces quelques heures. « Tu peux être fière mon cœur, notre petite fille est magnifique. » A ces mots la porte s’ouvrit, laissant apparaitre la sage femme avec un petit être dans ses bras, me posant sur ma mère, celle-ci fondit en larme, toute la pression qu’elle avait accumulé cette journée était enfin dissipée et la plus belle chose qu’elle attendait depuis neuf mois était enfin là. « Bienvenue sur terre, Aalyiah Cassy Keller… Tu es magnifique mon ange.. » Voila mon prénom était enfin révélé : Aalyiah, il n’avait pas choisi la facilité pour l’écrire mais j’aimais celui-ci.. Encore heureux, étant donné qu’il allait me suivre jusqu’à la fin de mes jours.

CHAPTER TWO . Welcome in this world Aalyiah Cassy Keller

« Dépêches toi de te préparer chérie, il est bientôt l’heure. » Allongée dans mon lit, je tenais dans mes bras mon ours en peluche serrant celui-ci contre moi, encore une nouvelle rentrée des classes, ma mère avait préparé mes affaires sur mon armoire et m’attendait dans le salon. Soupirant doucement, je décidais finalement de me lever et de me rendre dans la salle de bain afin de me préparer. J’avais beau n’avoir que six ans j’étais très autonome pour mon âge, mes parents tenaient à ce que je me débrouille par moi même, ne voulant pas d'une enfant gâtée mais d'une petite fille avec des principes et des valeurs. Je n'étais pas le genre d'enfant à avoir tout ce que je voulais d'un claquement de doigt, au contraire si je désirais quelque chose je devais le mériter… Une fois de plus ma mère et moi étions seules à la maison, mon père possédant une chaine d’hôtel passait énormément de temps aux quatre coins du pays pour ses affaires, nous laissant souvent seules, mais je ne lui en voulais absolument pas, je savais qu’il faisait ça par obligation et qu’il aurait préféré de loin être avec nous plutôt qu’à parcourir les Etats Unis seul dans son jet privé. Ma mère était infirmière à l’hôpital de la ville, essayant au maximum d’arranger ses horaires en fonction de mon père afin de ne pas me laisser trop souvent seule à la maison même si parfois il m’arrivait de passer la nuit seule pendant qu’eux deux travaillaient… Autonome et parfois un peu trop solitaire, mon éducation se voyait dans mon caractère, parfois trop studieuse, j’étais comparée aux autres enfants de mon âge un peu trop mature, même trop de temps à autres. J’avais tellement l’habitude de devoir me débrouiller par moi-même que je n’avais plus besoin de l’aide des autres pour certaines choses.. Si je n’arrivais pas à faire quelque chose, je persévérais, ne lâchant rien tant que mon objectif n’était pas atteint : Têtue et déterminée, voila comment mes parents me voyaient, mais ils étaient fiers d’avoir une enfant qui se montrait ainsi. Terminant de me préparer, je rejoins vite ma mère dans le salon, comme à son habitude elle m’attendait son thé à la main. « Prêtes chérie? » Je devais sans doute être la seule fille à aimer aller à l’école : lire, écrire… Cela faisait une semaine que j’étais toute excitée à l’idée de la rentrée mais aussi par l’idée de revoir mes amis.. Je pouvais les compter sur le doigt de la main mais cela ne me dérangeait pas, je savais que ces amis là étaient des vrais sur qui je pouvais compter. « Oui je suis pressée ! On y va maman ? » Avant de partir, j’étais contrainte de déjeuner, avalant un bol de céréales et un jus d’orange, ma mère était très à cheval sur certaines choses comme le petit déjeuner à ne pas sauter. « C’est le repas le plus important de la journée mon cœur. » Oui, peut être, sans doute même mais je n’y pouvais rien si je n’avais pas faim au réveil… Mangeant un peu afin de lui faire plaisir, j’enfilais ma veste avant de mettre mon sac sur le dos, direction l’école…

En grandissant je devenais peu à peu une fillette sociable et souriante, j’avais une vraie joie de vivre bien que beaucoup pensait que j’avais une enfance trop calme.. J’avais des parents formidables, qui s’aimaient plus que tout, chaque jour ils s’aimaient d’avantage : un peu plus que la veille mais moins que le lendemain, leur bonheur faisait plaisir à voir et jamais je n’aurai crûs que quelque chose puisse venir tout gâcher. Evidemment comme dans toutes les familles il y a des discordes et notre famille n’échappait pas à la règle, encore jeune je ne comprenais pas très bien ce qu’il se passait entre mon frère et son frère mais ma cousine et moi étions prise au milieu de tout ça, faisant parfois les frais de toute cette mascarade. L’événement tragique qui bouleversa ma vie arriva quelques temps après mon dixième anniversaire.


CHAPTER THREE . Fais un vœux.

L'évènement qui a le plus marqué de ma vie arriva alors que je venais de fêter mon dixième anniversaire: 20 Septembre 1999, cette date restera à jamais gravée dans ma tête et pour cause un drame survenu chez moi. Mes parents et moi avions un rituel, tous les vendredis soirs nous sortions tous les trois, commençant par manger au fast food, nous terminions la soirée au bowling, un programme que j’adorais et que je n’aurais jamais manqué même pour tout l'or du monde. Toutefois ce soir là, ma mère qui était souffrante avait préféré ne pas sortir, cependant pour ne pas me priver de la soirée que j’attendais comme chaque semaine avec impatience elle avait souhaité que mon père m’emmène passer cette soirée habituelle. Il n'était pas vraiment d'accord pour laisser sa femme malade seule mais devant mes supplications il n'avait pu se résoudre à me dire non. Après un dernier baiser sur la joue de ma maman pour lui souhaiter une bonne nuit, nous étions partis, jamais nous n'aurions pensé qu'en franchissant le seuil de la porte nous disions adieu à l'une des personnes que nous aimions le plus au monde. Pourtant la soirée s'était passée merveilleusement bien, comme à mon habitude j’avais prit un hamburger, double cheese: mon préféré, avec un grand soda et des frites. Chaque semaine, je prenais le même menu, non pas que c'était la seule chose que j’aimais mais je me disais qu'en changeant mes habitudes je risquais de modifier cette soirée que j’adorais. Aujourd'hui quant j’y repense, je trouve ça complètement stupide mais à cet époque là cela me tenait à cœur. Le bowling et le fast food se trouvaient à quelques mètres l'un de l'autre, en général pour s'y rendre, je marchais devant mes parents pendant que le couple marchait derrière main dans la main. Se soir là, étant seule avec mon père, j’étais restée à côté de lui marchant tranquillement vers le bowling qui était comme tous les vendredis plein à craquer. Enfant, l'un de mes défauts était d'être une mauvaise perdante, mes parents sachant que je détestais perdre, s'arrangeaient à chaque fois pour me laisser gagner, un geste qui me faisait extrêmement plaisir. Oui je n’étais pas si bête que ça, je savais très bien que mes parents faisaient exprès de perdre. Alors que je venais tout juste de faire un strike, j’entendis le portable de son père se mettre à sonner, d'habitude il n'aurait pas décroché mais cette fois sachant que sa femme était seule chez nous, il avait fait une entorse à la règle. J’avais pu voir le visage de mon père se décomposer au fur et à mesure de la conversation, je ne comprenais pas ce qui était en train de se passer mais j’étais sure d'une chose, cela l’affectait fortement. La première chose qu'il me dit en raccrochant fut « On s'en va! » . Je ne savais pourquoi mon père voulait partir aussi vite mais j’avais bien l'intention de rester ici et terminer cette partie « Quoi? Oh non je veux terminer, j'étais en train de gagner. » Mon père s’était retourné vers moi, me fusillant du regard, un regard qui avait eu le dont de me glacer le sang, c'était bien la première fois que je le voyais dans cet état. « Tu obéis! On s'en va! » Voyant la colère qu'il éprouvait je n'avais pas cherché à en savoir d'avantage et avais fini par me résoudre à ne pas finir cette partie de bowling. Sur le chemin du retour, l'ambiance était lugubre, mon père ne m’avait pas adressé un mot, la radio n'était pas allumée et le seul bruit que l'on pouvait entendre était celui du moteur du 4x4. En arrivant dans notre rue, je pus enfin constater l'effervescence qu'il y avait, les gyrophares de pompiers et de la police se voyaient à plusieurs mètres, regardant par la fenêtre de la voiture, je voyais nos voisins tous regroupés devant ma maison. « Papa, pourquoi ils sont tous devant chez nous? Elle est où maman?! » Plus la voiture se rapprochait et plus la peur m'envahissait, j’avais compris le pourquoi de toute cette agitation quant nous arrivions devant chez nous, les flammes avaient pris possession de la villa, celles ci dépassaient le toit et réduisaient la demeure familiale en cendre sous mes yeux. Une seule personne manquait à l'appel: ma mère. En effet, elle ne se trouvait pas devant avec le reste des voisins, quant à mon père il ne prenait pas la peine de répondre à mes questions, m’angoissant d'avantage. La voiture à peine arrêtait, j’étais descendue en courant criant « Maman! Maman! » Se fut un pompier qui m'arrêta dans ma course « Restes ici petite! » Se débattant de toutes mes forces, j’essayais tant bien que mal de desserrer l'étreinte du pompier. « Lachez moi, je veux voir ma mère! Elle est dans la maison! ». Mon père sortant enfin de sa pétrification arriva vers moi avant de se mettre à ma taille, plongeant son regard noisette dans le mien. « Chérie, ta mère est dans un état très grave... Elle est dans le camion des pompiers... ». Tournant la tête vers celui ci je couru à en perdre haleine en sa direction, arrivant à sa hauteur, je pus voir ma mère allongeait sur la civière presque inerte, recouverte de brûlures plus graves les unes que les autres... Les larmes coulaient le long de mes joues, avançant doucement vers ma mère, je posai doucement ma tête sur sa poitrine, faiblement elle posa sa main dans mes cheveux me disant d'une voix presque inaudible: « Je.. t'.. ai..me. ». Ma tête sur sa poitrine, je sentis le cœur de ma mère s'arrêter de battre. Fondant en larmes, personne n'arriva à me décoller du corps sans vie pendant une bonne dizaine de minutes, je venais d’assister au décès de ma mère..

CHAPTER TWO . Petite fille tu deviendras grande un jour.

« Aly, tu vas rater ton bus, c’est pas le moment d’être en retard le premier jour! » Attrapant mon sac sur mon lit, je filais dans les escaliers prenant au passage un pain au chocolat sur la table de la cuisine avant d’embrasser mon père sur la joue. « J’serai pas en retard, promis. Passe une bonne journée, à ce soir. » Lui adressant un large sourire, je me précipitais vers la porte d’entrée afin de ne pas être en retard pour mon bus, avant de mettre mes écouteurs d’I-Pod dans les oreilles, j’entendis mon père me souhaiter à son tour une bonne journée. Encore une nouvelle étape dans ma vie: mon premier jour de lycée, j’étais tout excitée à l’idée d’entrer dans ce monde si particulier, le temps où j’étais solitaire et timide était révolu, à présent je me montrais franche, n’ayant pas peur de dire aux autres ce que je pensais d’eux, que cela leur fasse plaisir ou pas, de plus j’étais devenue de plus en plus têtue, une vraie tête de mule comme mon père aimait m’appeler… La popularité n’était pas quelque chose que je recherchais mais cela se fit seul, surement en côtoyant les bonnes personnes et en étant moi-même c’est-à-dire simple et naturelle; pourquoi me serais-je amusais à montrer une facette de moi qui n’aurais été que mensonge? Je n’étais pas le genre de fille à me prendre pour une bitch, bien que parfois surtout quant on me poussait à bout je n’hésitais pas à jouer les garces de service. Ma phrase fétiche était « Bonne mais pas conne! » . Enfin passons. Le lycée c’est aussi le début des premières histoires d’amour, las bas j’ai rencontré un homme Jayden Wellington, au début je trouvais ce type trop prétentieux et surtout macho, il faut dire que notre première rencontre fut des plus houleuses, ses amis lui lancèrent comme pari qu’il n’était pas capable de m’embrasser, ni une ni deux, celui-ci m’attrapa dans les couloirs, me colla contre les casiers et m’embrassa langoureusement, ma réaction fut simple et brève, ma main se colla sur sa joue laissant ainsi une belle marque rouge. « Tes complètement malade Wellington! Me touches plus. » Non mais pour qui se prenait il se mec? Furax, je le regardais avec un regard noir tandis que son sourire narquois se faisait voir sur son visage. « J’adore ton côté tigresse ma belle. » Alors là c’était le bouquet, voila qu’il m’appeler ma belle, il prenait ses rêves pour des réalités. « Le jour où je serais ta belle, les poules auront des dents! » Tournant les talons je retournais auprès de mes amis, laissant Jayden en plan. Pourtant ce que je ne savais pas c’est que les poules auraient plus vite que je ne le pensais des dents, à vrai dire J. devint plus sympathique, commençant à me montrer un côté de lui qui me plaisait, je me montrais froide et rétissante tandis que lui me demandait de l’accompagner au ciné, m’inviter au resto… Bien que je pensais qu’au début il se fichait de moi et je montrais gentil juste pour arriver à ses fins, je compris vite que je l’avais jugé trop vite et assez mal. Tout le monde à une seconde chance, pourquoi pas lui? Six mois plus tard nous échangions notre premier baiser devant une crème glacée, il savait me faire rire, me réconfortait quand je n’avais pas le moral et connaissait mon passé. « Si aujourd‘hui je t‘appelle ma belle tu vas réagir comme la première fois? » Adorant me charrier, il n’hésitait pas à remettre sur le tapis les pics que je lui avais lancé quelques mois plus tôt. « Tu m’avais provoqué ce jour là avec ton pari.. » Pourtant sans ce fameux baiser volé lui et moi ne nous serions jamais adressé un mot. « Oui mais si il n’y avait pas eu ce pari, je ne serais pas là à t’avoir dans mes bras. » Il n’avait pas tord sur ce point là.

J’étais amoureuse et je ne pensais pas qu’une chose horrible allait m’arriver, j’avais une confiance aveugle en Jayden et jamais je n’aurais crût qu’il puisse un jour me faire autant de mal, mon père avait aménagé le garage afin que je puisse jouer de la guitare sans le déranger, comme souvent nous étions dans celui-ci à discuter quant il vint à devenir trop entreprenant. « Jayden, non pas ce soir… » Je n’avais franchement pas la tête à ça ce soir là mais malheureusement lui n’était pas du même avis que moi, continuant ses caresses, je repoussais ses mains mais en vain. « Laisses toi faire.. » Me laisser faire alors que je ne voulais pas? Hors de question, je n’étais pas le genre de femme à ne rien dire, finalement il devint plus fort, m’attrapant violemment les bras, mes dents se serraient face à sa puissance, il me faisait mal et je n’avais pas l’impression que cela lui fasse quelque chose. « Lâches moi tu me fais mal! » Une heure et demie plus tard le cauchemar était terminé, j’étais seule dans le garage en pleure, mes affaires étaient éparpillées un peu partout dans la pièce, par chance mon père ne rentrait pas ce soir là étant à Los Angeles pour affaire. Personne n’était au courant de se viole, après ça tout le monde pensa qu’on avait rompu d’un comme un accord bien que je vouais une haine infinie envers Wellington. Je lui avais fait confiance et il m’avait détruite.

CHAPTER FIVE . Bienvenue dans le monde des adultes.

La fin du lycée approchait à grand pas, je savais enfin ce que je voulais faire de ma vie: infirmière, mon diplôme en poche je quittais cet endroit avec des moments de joies mais aussi des moments de tristesse. Bien que j'essayais de faire comme si tout allait bien, au fond de moi plus rien n'allait je voulais oublier le passé et pour ça je commençais par quitter Miami, j'avais l'intention de faire mes études à Détroit et surtout de changer de vie. Il n'était plus question que je me laisse marcher sur les pieds, qu'on puisse me détruire comme Jayden l'avait fait auparavant et petit à petit je sombrais dans la drogue. C'était un moyen pour moi de tout oublier, de me sentir mieux et d'être ailleurs.. « Tu peux me faire confiance, elle est bonne.. » Jared.. Mon dealer personnel, je l'avais rencontré à mon arrivée à Détroit et il avait été le premier à m'aider et surtout à me dire que la drogue était un bon moyen de tout oublier surtout après qu'il fut au courant de mon passé. « Si j'ai pas l'effet souhaité tu peux être sur que ça va mal se passer. » Contre toute attente, je me suis rapprochée de lui, il était étrangement sympathique avec moi et un soir où lui et moi étions complétement sous l'effet de la drogue, nous avons couché ensemble. N'allant que très peu en cours, je fini par arrêter mes études afin de me trouver un petit boulot comme serveuse. On ne pouvait pas dire que je travaillais dans un bar très bien fréquentée mais qu'importe..

Pourtant depuis quelques temps j'essaie de me sortir de la drogue et pour ça j'évite au maximum Jared, chose qu'il apprécie de moins en moins, saturant mon répondeur de ses messages tous plus colériques les uns que les autres.. Il n'y a pas à dire, l'amour ce n'est pas pour moi.

KATALIX/KATHLEEN
PERSONNAL INFORMATION

Bon, j'avoue que de ne donner que mon pseudo, ce n'est pas très courtois. Je vais donc vous laisser me démasquer partie par partie - pour qu'ainsi, Cupid puisse mieux prendre sa revanche sur ma personne -, commençons. Je suis une jeune femme âgé(e) de dix neuf ans. Je sais que vous mourez d'envie de savoir d'où je viens, bande de coquins, je viens du Nord de la France. Soit, vous commencez à en savoir trop, un peu plus et je vous donne mon numéro de carte banquaire avec ça ? Bref, j'ai connu le forum parce que j'ai fais un tour sur bazzart. et je le trouve vraiment très intéressant, avec un contexte qui change des autres et un design sublime ! Sinon, je commence sérieusement à en avoir marre de répondre à vos questions, alors j'arrête.


Dernière édition par Aaliyah C. Keller le Mar 11 Jan - 8:35, édité 1 fois
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Ahàron R. Horswood
Ahàron R. Horswood
h a n ds o m e
my sex is a fucking killer.


→ pseudo : . electricshots
→ célébrité : chace crawford
→ crédit : cy-cy .
→ messages : 110
→ emploi : ambulancier
→ arrivée à phoenix : 03/12/2010
→ souris pour cupidon : underco

« cupid & you »
« the one you love » : whatever .
« about your entourage »:
« cupid put me in »: i hate cupid !

Aaliyah ♠ When the stars go blue . [ terminée ] Vide
MessageSujet: Re: Aaliyah ♠ When the stars go blue . [ terminée ] Aaliyah ♠ When the stars go blue . [ terminée ] EmptyMar 11 Jan - 8:20

K'stew est que trop sex sur ton avatar (a) I love you
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche :)
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Invité
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Aaliyah ♠ When the stars go blue . [ terminée ] Vide
MessageSujet: Re: Aaliyah ♠ When the stars go blue . [ terminée ] Aaliyah ♠ When the stars go blue . [ terminée ] EmptyMar 11 Jan - 8:36

    Merci beaucoup et ne parlons pas de Chace sur le tien chaleur pitiiiéééé .

    Je viens de finir ma fiche, j'espère que tout est bon Very Happy
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MessageSujet: Re: Aaliyah ♠ When the stars go blue . [ terminée ] Aaliyah ♠ When the stars go blue . [ terminée ] EmptyMar 11 Jan - 8:47

J'aime beaucoup ta fiche, tu es validée (a)
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MessageSujet: Re: Aaliyah ♠ When the stars go blue . [ terminée ] Aaliyah ♠ When the stars go blue . [ terminée ] Empty

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