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JRMONTGOMERY ○ girl I wanna party with you !

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AuteurMessage
Jaxhuem R. Montgomery
Jaxhuem R. Montgomery
jax daniels
my sex is on fire for you.


→ pseudo : mymz.
→ célébrité : ian somerhottie.
→ crédit : red lipstick.
→ messages : 175
→ emploi : interne à l'hôpital de detroit.
→ arrivée à phoenix : 09/07/2009
→ souris pour cupidon : JRMONTGOMERY ○ girl I wanna party with you ! 35hnwc3

« cupid & you »
« the one you love » : i can't feel shit, remember ?
« about your entourage »:
« cupid put me in »: where the hell is cupid ?

JRMONTGOMERY ○ girl I wanna party with you ! Vide
MessageSujet: JRMONTGOMERY ○ girl I wanna party with you ! JRMONTGOMERY ○ girl I wanna party with you ! EmptyVen 3 Déc - 23:08

JAXHUEM REED MONTGOMERY
FEATURING IAN SOMERHALDER

JRMONTGOMERY ○ girl I wanna party with you ! Xvn8k
(C) TUMBLR
J'ai entendu dire qu'il fallait que je vienne me présenter personnellement à Cupid. J'espère que par pitié - ou pas - il m'épargnera un peu, non ? Mon nom complet est Jaxhuem Reed Montgomery et j'ai 26 ans. Je suis originaire de Phoenix, ce qui veut donc dire que je suis Américain. Actuellement, je suis interne à l'hôpital de Detroit et j'aime ce que je fais. Je suis à Detroit depuis le début de l'université, soit 8 ans et compte bien y passer le restant de mes jours. En ce qui concerne mon statut civil, je suis célibataire et je dois avouer que je suis heureux de l'être. Finalement, je crois tout de même que je devrais donner un coup de main aux gens qui me classeront dans ma catégorie en leur disant que je fais partie de where the hell is cupid ?.



« JAXHUEM, BORDEL DE MERDE ! » Faut vraiment qu’elle ouvre sa gueule aussi grand à une heure aussi… tardive ? Ouais bon il est 15h et j’suis toujours pas debout. J’ai pas fait les trucs que j’devais faire et ma mère a décidé qu’il était temps pour moi de me lever et de faire quelque chose de mon corps inactif à souhait. « T’es pas obligée de crier, Andrea. » Elle déteste que j’l’appelle par son prénom, ça la fout encore plus en rogne, mais j’le fais pour mon plaisir personnel, puis c’pas comme si elle pouvait vraiment y faire grand-chose. « Je suis ta mère, pas ta bonasse. Ton cul, tu le bouges et pas demain la veille ! » Je grimace puis passe ma main sur mon visage et dans mes cheveux avant de faire un quelconque mouvement. Une fois debout, j’contemple mon lit et y vois le corps nu de ma brunasse préférée. Je la laisse là, ma mère l’a pas vue parce que j’la couvrais, comme d’habitude. Elle a tendance à péter un câble quand elle sait que Raphaëlle dort là. Elle s’imagine des tas de trucs – qui, évidemment, sont vrais, mais qu’on garde pour nous. Dans le fond, elle est juste jalouse du fait que j’m’envoie en l’air plus souvent alors que ça fait des années qu’elle supporte le même gros pervers qui me sert de père. J’l’appelle pas papa, j’l’ai jamais fait et j’le ferais certainement jamais. C’pas mon père de toute façon, c’est celui de Livia, alors qu’il aille se faire mettre. J’ferme la porte de ma chambre et pose mon genou sur mon lit, me penchant ensuite pour embrassant Rafy sur le front. Elle ouvre les yeux et passe sa main dessus, comme pour ‘effacer’ le baiser que j’viens d’y poser. Elle est chiante, tellement, tellement chiante Raphaëlle, mais j’peux pas dire que j’puisse nécessairement me passer de sa présence. Elle me sourit et se lève d’un bond pour entourer mes épaules de ses bras fins, mordiller ma mâchoire puis passer à ma lèvre inférieure. « Bon matin, beau brun. » Elle est complètement nue et si j’m’écoutais, j’la sauterais direct avant d’aller prendre une douche, mais ma mère risque de débarquer à n’importe quel moment et la voir. Elle va me péter un câble et me dire que j’suis stupide de croire que ça fonctionnera éternellement avec une fille comme Leinenbach. Directe, maligne, sournoise, intelligente, foutrement dangereuse, manipulatrice et garce par-dessous tout. Le genre de fille qui pourrait me causer des problèmes si j’fais pas attention. C’est drôle de penser que notre rencontre s’est effectuée parce qu’elle était dealer et que j’suis devenu son client par l’intermédiaire d’un mec qu’on a en commun. C’est en majeure partie pour ça que ma mère peut pas la blairer. Elle l’a de suite reconnu dans son métier, pour avoir fait affaire avec trop de jeunes comme Rafy auparavant. Travailleuse sociale, elle manque jamais une seule opportunité de me prouver à quel point j’ai tort en faisant toutes les conneries que j’fais en tant qu’adolescent qui veut rien savoir de la structure et des merdes qui viennent avec. « Va falloir que tu te casses. » Elle arrête de sourire un instant et fait cette moue à laquelle j’résiste presque jamais. « C’est ça ou elle me recasse les couilles. » Elle hausse les épaules nonchalamment avant de poser ses lèvres sur la commissure des miennes. « Tu sais où m’trouver si t’as besoin de moi. » J’ai bien fait attention qu’à chaque fois que j’aie besoin de me ravitailler c’est sur elle que je tombe, parce que c’est presque la seule manière dont on arrive vraiment à se voir, étant donné nos milieux de vie foutrement différents. Elle ramasse ses vêtements et se rhabille à peine avant d’ouvrir la fenêtre, de lancer ses trucs parterre et de me lancer un dernier regard dévastateur avant de disparaître furtivement. Avec Leinenbach, les rôles sont inversés, c’est moi le mec presque con qui se laisse entraîner dans ses saloperies alors qu’elle essaie lentement de remonter la pente et qu’elle y arrive pas parce que j’peux pas décrocher du fait que j’la reverrais peut-être plus si j’arrête de consommer.

« On était rien, Jaxhuem. On a jamais rien été et on sera jamais rien, pigé ? » C’est exactement cette phrase qui m’a poussé à lui répondre quelque chose que j’aurais pu regretter si j’m’étais dit que c’était vraiment une erreur, mais ça l’est pas, pas pour moi. « Si on est rien, ça te dérangera pas que j’me casse pour l’univ dans une semaine. » Elle s’arrête de marcher sec et me dévisage. C’est quoi son problème d’un coup ? Elle réalise enfin qu’elle peut pas juste dire des trucs insensés en pensant que ça a d’impact sur rien ni personne ? « Tu quoi ? » J’lève les yeux au ciel et soupire en croisant les bras. Elle a très bien compris, trop bien même. Elle veut juste que j’répète pour trouver un moyen de me mettre notre ‘rupture’ sur le dos. Elle veut me quitter pour un mec que j’connais pas, qui est apparemment mieux que moi. Ils ont des plans, qu’elle m’a dit, en plus d’avoir précisé que c’était aucunement de sa faute si elle en était ‘tombée amoureuse’. Cette connasse est incapable d’amour, je le sais, je le vis. « J’répèterai pas, Raphaëlle, et certainement pas pour tes beaux yeux. » Elle s’énerve toujours trop rapidement, ce qui fait qu’elle s’empare du premier truc qui lui tombe sous la main – soit, un manuel – et me le lance au visage. Je l’esquive de justesse et m’approche de manière à ce qu’elle soit coincée entre un meuble et moi. Je la pousse presque dessus, comme pour lui faire mal comme elle vient d’me faire mal. « Je m’en vais et j’remets pas les pieds ici à moins de revenir payer une visite à mes parents. T’as compris là ? » On est trop jeunes pour s’engueuler comme des vieux qui savent pas ce qu’ils vont faire de leur avenir. Si j’me casse, c’est parce que j’en ai foutrement marre d’me faire reprendre par la madre et que le beau-padre me gonfle à toujours prendre parti parce qu’il a pas de couilles et sait jamais où s’placer. Il ose pas ouvrir sa gueule quand on prend des décisions pour moi parce qu’il sait que j’vais contester, étant donné qu’il a absolument rien à voir dans tout ça, même si techniquement c’est lui qui a été là pendant toutes ces années parce que mon vrai paternel s’est fait foutre en prison. Un pauv’ con l’a accusé alors qu’il était innocent. Le crime ? Aucune idée, maman a jamais voulu m’le dire. Elle tient à ce que ça reste secret. Sa famille a jamais aimé mon père et préfèrent tous mon beau-père, le remplacement. Bah pas moi, j’ai pas tant connu mon père, il est parti quand j’étais foutrement jeune, mais j’sais qu’il a tenté de reprendre contact avec moi et qu’Andrea le lui a interdit. Prétextant que j’étais déjà assez à handle et qu’elle voulait pas augmenter la charge rien qu’avec moi. Évidemment, Livia passait pour l’enfant modèle alors que c’était aucunement le cas. « Connard. » J’reviens à la réalité lorsqu’elle m’adresse la parole et que j’vois pendant l’instant d’un mirage une larme se former au coin de son œil. J’prends ma veste et m’casse en claquant la porte. J’aurais juste jamais cru qu’elle me gueulerait de revenir et que j’l’ignorerais complètement. Tant pis pour sa gueule, elle voulait jouer, on a joué et maintenant elle se fait prendre à son propre jeu. Rira bien qui rira le dernier, Leinenbach.

▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬

L’université a ses hauts et ses bas… Dans mon cas, j’dirais plutôt que ce sont que des hauts. Pour l’instant, j’ai pas eu à me plaindre. Ma sœur est pas là pour me casser les couilles, j’ai déjà un groupe d’amis sur lequel j’sais que j’vais pouvoir compter dans les années à venir et j’ai la sainte paix parce que Raphaëlle Leinenbach fait plus partie de ma vie depuis trois bonnes années. « Jax, tu t’ramènes, j’ai la bouse faut juste que t’appelles Noah et Cade pour qu’ils s’ramènent ! » J’me retourne vers le châtain avec qui j’ai fait connaissance en entrant ici. Ahàron Horswood, qu’il s’appelle. J’ai connu sa sœur en même temps, Callie, puis j’sais pas comment on a fait, mais on s’est retrouvés à former un quatuor de cons que toutes les filles s’arrachent – littéralement parlant – sans se donner la peine de vouloir sérieusement nous connaître. Enfin, j’parle pour Noah, Cade et moi. J’dis pas qu’Ahàron est un laideron, mais il a déjà une girl plus que désirable à ses côtés. Jheylann Davenport, qu’elle s’appelle. On la connaît pas vraiment, les mecs et moi. Ahàron a tendance à vouloir la garder pour lui-même ‘de peur qu’on la lui vole’. S’il fait ça, c’est parce qu’il sait qu’elle est trop bien pour lui et qu’elle pourrait le quitter en un claquement de doigt s’il faisait le con et qu’il se retrouvait dans une situation douteuse, soit, très mauvaise pour son image et sa réputation. Elle est canon en plus, Jhey. De taille moyenne, foutrement sexy, cheveux bruns, pour les yeux ça reste à voir je l’ai plus souvent vue en photo qu’autre chose. Soit, Ahàron nous menace tous les jours de nous brûler si on l’approche de trop près et qu’elle sympathise avec nous. Encore une fois, il a peur qu’elle devienne à l’aise en notre compagnie et qu’on soit amis avec. C’est con, sérieusement, parce que d’après c’que j’me souviens, lui et elle sont ensemble depuis qu’ils sont gosses. Le genre de relation qui est impossible à détruire parce que le lien est trop fort. Ça m’traverse encore l’esprit de penser que Rafy et moi on avait quelque chose de semblable en bien plus détourné, mais semblable dans sa propre manière d’être. Encore troublé, j’émerge de mes pensées parce que j’dois m’bouger. Ils vont pas m’attendre éternellement et j’tiens absolument pas à rater ma première soirée depuis la fête de mes 21 ans. J’me lève et j’prends mon portable, faisant d’une pierre deux coups et envoyant un texto à Cade et Noah en même temps. Ils vont nous rejoindre plus tard, qu’ils disent. Ils ont des trucs à régler… c’pas comme si c’était réellement un problème à l’instant, ça va juste me permettre de boucler les trucs que j’ai pas fait parce que j’sais que j’vais pas étudier avant de bonnes heures demain, après m’être réveillé avec une sacrée belle gueule de bois. Étudier en médecine, c’est hardcore, faut vraiment le vouloir pour l’obtenir parce que c’est pas vrai que les profs vous épargnent pour telle ou telle raison. Mon portable vibre, j’regarde qui c’est mais j’arrive pas à reconnaître le numéro. J’réponds en demandant à la personne comment elle a obtenu mon numéro de portable, étant donné que j’suis pas con et que j’le donne pas au monde entier. Elle se contente d’répondre : you’ll see soon enough. Si c’est une blague, elle est foutrement de mauvais goût. J’y porte plus attention, j’finis mes trucs et vais rejoindre les mecs pour la soirée démentielle qu’un élève qu’on connaît – pas vraiment, mais c’est qu’un détail – lance quelque part de secret dans l’univ. J’me prépare rapidement, un chandail, un jean et des shoes de marque devraient le faire. J’me présente avec les trois autres cons qui me servent de famille et j’me fais direct repérer par une blondasse qui m’aborde en frôlant ma main et en me faisant un clin d’œil. « Bonsoir… » Qu’elle me dit, tout sourire. J’peux aucunement dire que je l’ai pas remarqué, parce que c’est faux. Elle se tient devant moi et tente d’me tirer vers la piste de danse. Déjà, j’entends Noah et Cade étouffer des rires alors qu’une seconde à détourner le regard m’a suffit pour remarquer qu’Ahàron avait sa date de la soirée, mademoiselle Davenport. C’est un foutu miracle de la voir ici, d’habitude quand on se présente aux fêtes on y va que nous et ensuite on raconte notre soirée aux autres via facebook – en fait, c’sont les autres qui le font, mais ça m’fait quand même marrer.

La soirée avance rapidement, j’ai l’impression. Surtout parce qu’avec la quantité d’alcool que j’ai dans le sang et le nombre de filles avec qui j’ai dansé en passant de blonde à brune, puis à châtain pour revenir à brune puis à blonde. Je sais pas qui étaient toutes ces filles et j’parie que j’vais m’faire traiter de salaud demain parce que j’ai aucune intention de les rappeler. Pas ma faute si les filles sont trop faciles quand elles commencent à ingurgiter l’apocalypse. Qu’elles viennent se plaindre après qu’on profite d’elles, putain, elles jouent toutes à l’agace ! Quoi qu’il en soit, je sais que j’ai au moins 7 nouveaux numéros entrés dans mon portable. Cade et Noah ont dû me supporter pour m’aider à marcher quand j’retournais à ma résidence. J’ai pas ramené de fille – heureusement pour moi – Cade m’aurait étranglé si j’avais osé le faire alors qu’il voulait dormir. Soit, je pose à peine la tête sur mon oreiller et m’endors comme si j’avais dormi de ma vie… « Jaaaaaaaackie… Jackie ? Jackie ! » Et un verre d’eau glaciale dans la gueule, un ! Sale enfoiré d’Adams, je vais l’abattre. Je grogne et lève les mains pour essayer d’atteindre quelque chose à lui lancer avant d’ouvrir les yeux et de sentir les rayons de soleil me brûler les yeux. « T’as une visite, tapette. » Fucking shit, c’est qui le connard suicidaire qui vient me réveiller en sachant que j’suis aucunement en état de parler ou de faire quoi que ce soit d’autre. « AAAAAAAAAAAAHHH JAAAAAAX ! » Oh non… Non, non, non putain, NON ! Sans que je sache comment, ni même pourquoi, la folle s’approche de moi et s’étale de tout son long sur mon corps inanimé. Ensuite, elle se relève et reste assise sur mon dos en commençant à faire la conversation. « Je te déteste. » C’est tout ce que j’arrive à formuler correctement, la tête contre l’oreiller. Je bouge mes mains à mes oreilles et tente de la faire bouger, mais ça fonctionne pas. « Tu m’as manqué aussi, Jaxhuem Montgomery. » La folle, c’est Olivia Montgomery-Phipps, soit ma petite demi-sœur. Son gros con de père est celui qui a servi de remplacement et elle est née de son union avec ma mère. Loin de là l’idée de faire du mal à Ollie en lui disant de dégager, mais bordel quoi… J’ai besoin de respirer et c’est pas come ça que j’vais y arriver. Si elle est là, c’est qu’elle vient sûrement me demander quelque chose/a besoin de quelque chose. Étonnement, contraire à son géniteur, j’ai jamais eu de problème à aimer Olivia. Quand elle est née, j’étais jeune, mais j’crois que j’avais eu le temps de réaliser que j’serais pas le seul à endurer les parents. Soit, Ollie vient pour quelques jours, sûrement plus, rien à foutre. J’suis content qu’elle soit là, comme ça j’vais avoir quelqu’un vers qui me tourner quand y’a personne qui peut me comprendre. Evidemment, elle connaît mon cercle d’amis pour en faire officieusement partie quand elle est là, étant donné qu’elle adore me faire chier et s’incruster dans mes trucs. C’est pas comme si j’pouvais vraiment lui en vouloir non plus… « Allez, lève-toi. J’te paie le petit-déj. » Depuis quand elle est gentille comme ça ? Ouais bon, bref… J’me lève, me prépare et sors avec ma sœur. Elle se fait siffler, j’envoie des doigts d’honneur et des yeux menaçants. La routine…

▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬

« Hey Jax, y’a une fête d’enfer sur le campus ce soir, tu viens ? » J’pourrais, mais j’veux pas, pas ce soir. J’sais pas pourquoi mais j’ai le pré-sentiment que quelque chose de bien va m’arriver si j’reste chez moi. Mieux que ce qui pourrait m’attendre à cette soi-disant fête. « J’ai des plans c’soir, désolé Sienna. » J’suis pas vraiment désolé, mais j’dois quand même keep up the apparences, alors bon. Puis, j’sais qu’elle a des vues sur moi depuis perpette, mais j’en ai jamais rien fait parce que j’sais que c’est le genre de fille qui cherche une relation sérieuse. J’peux pas le lui en donner parce que j’en veux pas, pas avant un bon moment. Va falloir que j’lui fasse comprendre plus clairement, mais j’sais pas comment. Briser le cœur des filles a jamais été mon fort, on a toujours laissé ça à Noah et Cade, Ron et moi. D’ailleurs, il avait pas de cœurs à briser, il avait Jheylann, il a toujours Jheylann. Je l’emmerde parfois d’avoir trouvé la fille avec qui il sait qu’il va passer le restant d’ses jours. Une fille qui l’aime malgré toutes les conneries qu’il fait et qui lui est fidèle. C’est connu, notre génération est pas spécialement conçue pour avoir des relations saines et stables… Les vieux arrêtent pas d’nous reprocher des tas de trucs, alors que c’est de leur faute si on est comme ça. Ils nous ont effrayés avec leurs putains de problèmes, leurs divorces, leurs disputes et j’en passe… Bref, Sienna s’en va, l’air déçue. Meilleure chance la prochaine fois ? Le silence règne, mais mon portable vibre, c’Olie… Elle me dit qu’elle est en bas et qu’elle m’attend. J’me lève et me grouille de descendre en bas, une fois là, j’vois personne. J’reçois un autre texto qui m’indique qu’elle s’est trompée de personne. Bravo, Olivia ! Avant que j’retourne dans l’édifice, j’aperçois une silhouette qui m’est un tant soit peu familière. Je m’approche et j’entends des sanglots… ‘tain, impossible. « Jhey… » Jheylann Davenport, la copine de Ron. Elle fout quoi là ? Elle a pas l’air bien, mais j’sais pas comment faire pour savoir ce qui se passe. Ça me trouble plus qu’autre chose qu’elle soit là, dans le parc devant chez moi. Elle relève à peine la tête et son visage est dégoulinant de larmes. ‘tain, soit c’est Ahàron, soit il s’est vraiment passé un truc plus grave que ça, mais la connaissant – du moins, de ce que j’ai pu analyser d’elle – je suis à peu près sûr que c’est Ahàron. Je me poste devant elle et la regarde, en attendant qu’elle daigne bouger. Je tends ma main et elle la prend et je la traîne jusqu’à devant l’édifice. « Ce soir, tu dors chez moi. » Elle peut pas répliquer, je la laisserais pas répliquer de toute façon. Elle peut clairement pas retourner chez elle dans cet état et y’a une raison qui fait qu’elle se trouve devant chez moi et non les autres. T’façon, j’crois qu’ils auraient plus essayé de profiter de la situation et cacher le tout ensuite, mais pas moi. J’respecte Jheylann, depuis le temps qu’on s’connaît surtout. C’est dur de la voir comme ça, par contre, et j’sais pas pourquoi j’me sens mal, mais c’est le cas…

J’me mords la lèvre, j’arrive pas à me décider… Si j’rentre – je sais qu’elle est là – j’vais avoir envie d’me blottir contre elle et lui souffler des trucs à l’oreille. Si j’rentre pas, elle va s’inquiéter parce qu’elle connaît mon horaire. Bon, tant pis, j’rentre. La porte est débarrée, j’sais pas pourquoi mais j’me pose pas directement de questions. J’suis foutrement fatigué et j’ai qu’une seule envie… J’viens de passer 48 heures à l’hôpital avec très peu de sommeil dans le corps, j’recommence à travailler dans à peine 9 heures alors j’vais profiter du répit que j’ai. J’me déshabille graduellement et une fois qu’il m’reste plus que mon boxer, j’vais dans la chambre de ma coloc… « Bonsoir. » Qu’elle me dit, doucement. Elle se lève ensuite pour m’enlacer. J’sens son parfum et l’odeur de ses cheveux m’enivrer et sérieux, j’pourrais pas demander mieux à l’instant même. « Tu m’as manqué. » J’lui dis, j’sens son sourire se former contre la peau de mon cou. J’frissonne, ‘tain, l’effet qu’elle me fait est carrément malsain, j’sais même pas comment faire pour survivre. J’respire plus difficilement quand elle décide de passer ses mains dans mon dos pour me serrer contre elle. J’dépose un baiser dans son cou et j’relève ensuite la tête pour frôler ses lèvres. C’est à son tour de me tease… elle m’embrasse à la commissure des lèvres. J’ferme les yeux pour mieux encaisser le coup, puis j’descends mes mains jusqu’à ses hanches. Si j’m’écoutais, je l’embrasserais, mais j’peux pas, parce que j’ai toujours envie de lui faire tellement plus que ce qu’elle me laisse lui faire que ça va me faire chier parce que je sais qu’elle va m’arrêter. C’est pas les occasions que j’ai ratées d’essayer, mais j’peux pas la brusquer non plus, j’veux pas, elle est encore trop fragile. Elle me sourit, comme pour me dire qu’elle est contente d’me voir. J’recommence à mordiller ma lèvre inférieure, merde c’qu’elle est belle. Elle met ses mains dans les miennes et me tire vers son lit. Je me couche et elle vient compléter le vide se trouvant devant moi avec son corps parfait. Face à moi, je vois son visage avec la luminosité de sa télévision. Ses cheveux encombrent son visage, alors j’passe ma main pour les enlever, puis elle met une main sur ma joue avant de se rapprocher et de déposer un baiser rapide sur mes lèvres. « Toi aussi… » Je sais pas comment elle fait pour m’apaiser aussi facilement. Après mes shifts merdiques, j’comprends toujours pas comment Jheylann Davenport fait pour faire partir mon stress en passant sa main sur mon visage. C’est comme si elle me nettoyait de tout pêché, ou un truc dans le genre. Evidemment, j’ai ma part d’erreurs, tout comme elle a la sienne – qui doit être relativement petite comparativement à moi – m’enfin… « Un jour, j’serai fier de dire au monde entier que tu m’appartiens. » Que j’lui souffle, elle se contente de sourire et de m’embrasser de nouveau, avec plus d’intensité cette fois. J’en profite et passe mes mains sur ses jambes, la faisant basculer sur moi. Elle est à califourchon et je passe mes mains sur ses cuisses avant de remonter à la bordure de son chandail. J’voudrais bien le lui retirer, mais j’sais déjà ce qui va se passer, alors j’me considère chanceux du moment que j’passe avec elle. Quand notre folie passagère passe, elle se place dos à moi et positionne mes mains sur son corps. Elle me fera éternellement frémir, Davenport. J’me mords la lèvre en me disant que j’suis quand même foutrement fort spirituellement pour résister à tout ça. Tout ce qu’elle m’offre, tout ce qu’elle pourrait m’apporter. Puis, j’me dis qu’un jour, je l’aurai…

MYMZ
PERSONNAL INFORMATION

Bon, j'avoue que de ne donner que mon pseudo, ce n'est pas très courtois. Je vais donc vous laisser me démasquer partie par partie - pour qu'ainsi, Cupid puisse mieux prendre sa revanche sur ma personne -, commençons. Je suis une jeune femme âgée de 18 ans. Je sais que vous mourez d'envie de savoir d'où je viens, bande de coquins, je viens du Canada. Soit, vous commencez à en savoir trop, un peu plus et je vous donne mon numéro de carte banquaire avec ça ? Bref, j'ai connu le forum parce que je tapais un truc sur google et que j'suis tombée sur ça et je le trouve très bof, ouais ! Sinon, je commence sérieusement à en avoir marre de répondre à vos questions, alors j'arrête.


Dernière édition par Jaxhuem R. Montgomery le Lun 10 Jan - 0:47, édité 4 fois
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Jheylann C. Davenport
Jheylann C. Davenport
    ❝there is a hell, believe me i've seen it. there is a heaven, let's keep it a secret ❞


→ pseudo : emmecie.
→ célébrité : ashley greene.
→ crédit : ashesdust.
→ messages : 120
→ emploi : infirmière à l'hôpital de detroit.
→ arrivée à phoenix : 26/08/2009

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MessageSujet: Re: JRMONTGOMERY ○ girl I wanna party with you ! JRMONTGOMERY ○ girl I wanna party with you ! EmptySam 11 Déc - 9:41

JE VEUX MON CHAT MERCI BEAUCOUP!
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Jaxhuem R. Montgomery
Jaxhuem R. Montgomery
jax daniels
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MessageSujet: Re: JRMONTGOMERY ○ girl I wanna party with you ! JRMONTGOMERY ○ girl I wanna party with you ! EmptyLun 13 Déc - 0:41

IL S'EN VIENT LÀ. Pf...
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